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dimanche 26 avril 2015

BOQUETE et CERRO PUNTA - stop, fete des fleurs et "pas de Quetzals"

09/01
Nous prenons un bus pour sortir de la ville d'une petite heure puis reprenons le stop avec un plaisir non dissimulés. C'est un jour férié pour les panaméens et beaucoup sont sur la route vers l'ouest; c'est le jour des martyrs: des étudiants tués pour avoir manifesté contre les états-unis qui ont envahit le pays en 98 . Emilio et Gisèle nous prennent sans hésiter et vont au même endroit que nous pour un mariage. Quelle chance, un seule ride, et ils sont géniaux. Nous apprenons beaucoup de chose sur le panama de façon très condensée. Nous arrivons de nuit à Boquete et dégotons une auberge qui nous laisse planter la tente dans le jardin. Nous remercions Emilio et Gisèle pour leur gentillesse et partons nous coucher après un repas bien mérité. 

10/01
la nuit en tente nous fait beaucoup de bien, ambiance, trek en montagne, ça faisait longtemps. Nous partons déjeuner dans le village puis marcher et explorer les alentours. Nous passons d'abord devant le festival des fleurs qui est la grande attraction du moment et continuons sur la route pour faire le tour du secteur en empruntant le chemin du "pianiste". Les paysages sont très jolis mais nous sommes prit dans une alternance de bruine, averse, qui nous contraint à rentrer transit de froid, en stop jusqu'à l'auberge. Un gentil papy du coin nous pose volontiers devant la porte.






Nous discutons à l'auberge avec un cuistot italien et un barman argentin super sympa qui nous offrent un coup de rhum pour nous réchauffer
Nous repartons sous la tente pour notre dernière nuit à Boquete.
11/01
Le lendemain nous partons de l'autre coté du volcan, en bus, pour Cerro punta, point de départ de nombreuses balades, notamment vers le parc national "la amistad", à cheval entre le panama et le costa rica. Nous posons nos sacs dans l'hostel cerro punta, tenu par un couple de papy très sympa et très religieux. En prenant nos quartiers nous nous apercevons de la catastrophe: nous avons oublier la guitare dans le bus...nous sommes terriblement déçus mais nous avons le maigre espoir de demander à la station de bus en repartant.
Nous partons immédiatement vers le parc national en question pour une après midi de balade. Arrivée devant l'entrée, un portail avec cadenas nous parait étrange...nous entrons quand même, le poste de ranger semble désert...nous y allons quand même...nous faisons une marche de 2 heures, la vue en haut est superbe, vers une foret tropicale brumeuse, nous nous attendons à voir sortir des animaux gigantesques à tout moment... en revenant de la balade, nous commençons à comprendre...cette partie du parc est surement fermée à cause d'un énorme glissement de terrain....c'est pas grave, la balade était sympa, et du coup...gratuite... nous rentrons en stop jusqu'à l'hostel pour nous reposer.








12/01
Après un petit déjeuner conséquent, nous partons en stop vers le départ du sentier "les quetzals", dans l'espoir d'apercevoir l'oiseau mythique des mayas. Nous arrivons assez rapidement au départ de la marche et débutons sous une chaleur de plus en plus pesante. Le sentier devient boueux mais toujours praticable. Nous marchons environ 2 heures et apercevons quelques oiseaux mais pas la star en question. nous faisons une pause repas sur un mirador avec vue fantastique, les singes hurleurs se font entendre au loin. Nous marchons à nous 1 heure de plus pour descendre dans la vallée. Nous rejoignons un cours d'eau et un pont magnifique puis décidons de rentrer. Le chemin du retour, en montée, nous parait impressionnant mais nous le terminerons finalement plus vite qu'à l'aller. Nous rentrons en stop alors que la pluie commence à tomber. Nous avons passé une super journée même si nous avons loupé le fameux oiseau.
















poster du parc : trop mignon le zozio


13/01
Après une bonne nuit de sommeil, nous nous préparons à quitter la montagne pour un bon moment car la plage et les tortues nous attendent. Nous rentrons en bus jusqu'à la ville principale se trouvant sur la route du costa rica: David. En arrivant à la gare routière nous demandons sans conviction; comment nous pourrions retrouver le chauffeur de deux jours plus tôt, avec un grand bus rouge... informations parfaitement inutile, d'après nous... et bien pas du tout "oh le grand bus rouge?? oui j ai son numéro", nous l’appelons et le chauffeur se souvient parfaitement car il a trouvé la guitare et la mis de coté chez son patron. Il nous donne rendez vous demain matin pour la récupérer.
Nous trouvons un petit hostel sympa tenu par un couple franco panaméen, "el morpho", tout neuf, les proprio super gentils et accueillants, nous passons une super soirée à discuter avec eux. 

2 commentaires:

  1. Coucou les aventuriers !
    Mea Maxima Culpa, je suis pris en faute, je ne suis plus aussi avidement que par le passé toutes vos périgrinations ... et je vais tacher de rattraper ce retard ... mais bon ici il refait beau (et ça fait un moment qu'il pleuviote, vente, tombe des cordes etc ...) et ma pelouse n'attendra pas, les joies de l'entretien associées à la gestion de la météo ... bref
    Bien content de voir toutes ces belles photos, et en espérant vous voir un jour accoster à St Gilles ;)
    bises et a bientôt

    PS Robin a perdu sa première dent, va falloir que je trouve le temps de vous envoyer sa trombine avec son gros trou au milieu ;)

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  2. gillou et domi17 mai 2015 à 00:55

    bon et bien voila
    j'arrive a la fin de vos publications (pour le moment)
    c'est un festival de couleur et de nature, j'ai cru voir : les floralies de Nantes, un arbre du voyageur, une mascotte, une agapanthe (une de mes fleur préférée), un oiseau bleu, de la boue, du rouge, du vert et un oiseau vert, comme un inventaire a la Prévert
    et retrouver la guitare ... comme vous êtes chanceux chers petit cousins !
    j'ai hâte maintenant de lire et voir vos aventures au Costa Rica
    même si je sais que vous ne devez pas être loin du retour vers l'Europe
    bisous toulousains
    gillou

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